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a propos ( 22 décembre, 2011 ) un de tes baisers j’ai soudain la tête qui s’envole vers le ciel, attirée par une force hors du matériel, je me sens monter lentement, mon corps emporté par le souffle du vent. mes cheveux se perdent dans les nuages, mes yeux contemplent le monde de sauvages, le vent siffle une symphonie à mes oreilles, et toujours je me rapproche du soleil. j’aperçois une autre lueur que lui, j’ai cru que c’était le soleil qui luit, mais elle éclipse le soleil, la vérité m’est révélée, la curiosité me pousse à me laisser flotter. la lueur est une silhouette éblouissante, pourvue d’ailes éclatantes, elle a, sur l’épaule, un rat étincelant, et un sourire sur sa peau d’argent. c’est l’amour et non le vent qui m’envoi, ses yeux de saphir se posent sur moi, me jugeant telle l’âme à sa mort, mais c’est de la terre que je quitte le port. elle se rapproche de moi lentement, ses lèvres s’écartant légèrement, et venant déposer sur les miennes tendrement, l’ultime baiser recherché de tous les amants. publié dans livre 1 : la rose par leszomskiruze commentaires fermés -- ( 14 novembre, 2011 ) meurtrier 800×600 -- normal 0 21 false false false fr x-none x-none microsoftinternetexplorer4 -- -- /* style definitions */ table.msonormaltable {mso-style-name: »tableau normal »; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-parent: »"; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family: »times new roman », »serif »;} -- quand je rentre ma lame en son fourreau chaque soir, que la lumière tamisée projette mon ombre sur le mur, et que mon manteau tombe sur un sol noir, je sais qu’une journée de meurtre s’achève à coup sûr. de ma lame je joue contre les ténèbres, je la plante dans le dos de toute peur, tout cela pour déposer encore mes lèvres, tout cela pour garder vivace ton cœur. meurtrier je le suis, mais jamais je ne laisse de sang, mes victimes s’évaporent vers d’autres mondes de douleur, ma lame est aiguisée et renforcée par mon amour éclatant, et au froid de la mort j’oppose toute sa chaleur, chasseur de tourments, au cœur des souffrances, l’ombre recule quand j’avance, le soleil dans ma main, le soleil d’un amour qui déchire toutes les ronces, détruire chaque peine pour voir se lever un autre matin. et voir le soleil éclatant éblouir ton visage endormi, cette vision divine dessinant un sourire sur mon visage, le bonheur d’être contre toi loin des dangers de la nuit, le bonheur de prendre soin et d’aimer la plus belle ange. publié dans livre 1 : la rose par leszomskiruze commentaires fermés -- ( 11 septembre, 2011 ) envie 800×600 -- normal 0 21 false false false fr x-none x-none microsoftinternetexplorer4 -- -- /* style definitions */ table.msonormaltable {mso-style-name: »tableau normal »; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-parent: »"; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family: »times new roman », »serif »;} -- comme une pulsion au fond de moi, qui fait battre tout mon corps, qui me pousse vers les aurores, que sont tes yeux tournés vers moi. mes doigts se tendent comme des branches, recherchant ton écorce de douceur, pour la caresser jusqu’aux hanches, et le ressentir jusqu’au cœur. faire rencontrer nos grottes d’éternité, dans de langoureux échanges, emplis de chaleur et de volupté, pour s’envoler au pays des anges. puis glisser le long des gorges du bonheur, y déposer les preuves de mon amour, descendre vers ton cœur, embrasser tout ce qui est autour. et descendre encore plus étalé, le long de la douce colline, jusqu’aux humides vallées, pour entendre la pomme qui couine. avec mon corps explorer le tient, au plus profond des étoiles, du fourreau être l’épée qui vient, allumer de plaisir tes ailes. pour déclencher la fanfare de joie, dans la chaleur de nos étreintes, l’exultation d’être en toi, et finir en une longue plainte. publié dans livre 4 : l'hã©rã©sie par leszomskiruze commentaires fermés -- ( 11 septembre, 2011 ) amour 800×600 -- normal 0 21 false false false fr x-none x-none microsoftinternetexplorer4 -- -- /* style definitions */ table.msonormaltable {mso-style-name: »tableau normal »; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-parent: »"; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family: »times new roman », »serif »;} -- sphères nimbées de flammes, bleutées comme le ciel infini. reflets éternels de l’âme, les yeux de ma chérie. velours délicat et fin, d’une tendre douceur. plus pur que le lin, la peau de mon cœur. etreinte réconfortante, aimée, cocon protecteur autour de mon corps enlacé. les bras de mon amour. ange d’amour éternel, flamme brûlant en moi, déesse des merveilles. tout cela, c’est toi. publié dans livre 1 : la rose par leszomskiruze commentaires fermés -- ( 11 septembre, 2011 ) sombre coeur 800×600 -- normal 0 21 false false false fr x-none x-none microsoftinternetexplorer4 -- -- /* style definitions */ table.msonormaltable {mso-style-name: »tableau normal »; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-parent: »"; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family: »times new roman », »serif »;} -- comment pourrai-je te voir ? vêtue uniquement de la nuit, ton reflet perdu dans le noir, et les ténèbres pour seul lit. les ombres te prennent entre leurs mains, tandis que les miennes cherchent ton visage, la pénombre te dissimulant du malin, la nuit te préservant des anges. tes yeux, seule lueur dans l’ombre, je suis près de toi quand tu dors, je suis la voix dans les ténèbres, je suis l’ennemi de la mort. je fais de la nuit notre domaine, pour que les ombres engloutissent tes peurs, les ténèbres te dissimulant à la peine, et te préservant dans mon cœur. publié dans livre 1 : la rose par leszomskiruze commentaires fermés -- ( 31 juillet, 2011 ) l’éclat de tes yeux 800×600 -- normal 0 21 false false false fr x-none x-none microsoftinternetexplorer4 -- -- /* style definitions */ table.msonormaltable {mso-style-name: »tableau normal »; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-parent: »"; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family: »times new roman », »serif »;} -- lorsque le ciel s’embrase dans toute sa splendeur, lorsque les anges vont chercher les démons dans les profondeurs, tous se retrouvent autour d’une lueur mystique, elle brille au-delà de tout ce qui est magnifique. le paradis brûle du désir d’égaler cette splendeur, l’enfer brille d’admiration devant tant de bonheur, la terre se déchire juste pour en voir le contour, devant la beauté de tes yeux mon cœur se remplit d’amour. un océan recouvrant d’écume un rivage rayonnant, vagues de beauté, tourbillon bleuté captivant, mélange exquis de nuances et de volupté, transformant tout reflet en parfaite beauté. en son centre s’ouvre un gouffre sans fin, d’un noir de jais aux reflets d’airain, profondeurs insondables et infinies, miroir d’une âme a